( soit du lundi 18 au dimanche 24 février : 9 films vus, aucun ciné )
Mia et le Migou : graphisme très très sympa, mais histoire un peu décevante, trop proche de Mon Voisin Totoro (et le Migou n'a pas le charisme de Totoro...)
L'Incompris : "classique du cinéma populaire italien". Deux jeunes frères tentent de faire le deuil de leur mère et de plaire à leur père diplomate assez absent...
Delicatessen : boucher tyran fait régner le cannibalisme et la peur dans un immeuble. Complètement WTF par moments, scène "d'action" de la fin un peu trop bordelique à mon goût mais j'ai bien aimé la fantaisie de ce film, ça fourmille et ça suscite chez moi le même genre de malaise que La Cité des enfants perdus, du même réalisateur.
Raison et sentiments : regardé juste après avoir lu le livre, que j'ai bien aimé même si je lui reprocherais un schéma trop similaire à Orgueil et préjugés (seul autre livre que j'avais lu du même auteur). Ravie de voir Kate Winslet toute jeune, mais adaptation peu surprenante, et je ne suis pas vraiment convaincue par Emma Thompson (je rejoins les critiques qui la jugent trop âgée pour ce rôle).
La petite fille au bout du chemin : film "culte" dans mon esprit à cause de ma mère qui en parle sans cesse depuis des années et a enfin acheté le DVD. Intrigue policière assez banale mais qui a fonctionné sur moi (je vois tellement peu de films de ce genre que je me laisse avoir facilement), la menace du gars pédophile est parvenue à me stresser suffisamment et il y a une scène vers la fin que je trouve vraiment excellente. Donne envie de voir d'autres films avec la jeune Jodie Foster.
L'Heure Suprême : mon 3ème Borzage, après L'Isolé et L'Ange de la rue, et peut-être celui que j'aime le moins jusqu'ici : intrigue amoureuse similaire aux deux autres (avec les mêmes acteurs, ce qui n'est pas gênant vu que je les aime beaucoup), mais le personnage de Charles Farrell est encore plus tête à claques que d'habitude, et je trouve la relation de soumission de la femme envers l'homme vraiment indigeste (bien sûr faut se replacer dans le contexte de l'époque, mais même). Reste quand même de très beaux plans, et ça reste assez prenant, mais je n'ai pas vraiment été éblouie comme j'ai pu l'être devant L'Isolé, c'est peut-être trop mélo à mon goût.
Pocahontas : un des Disney préférés de mon enfance, qui me fait toujours un effet boeuf (je crois que je n'aurai jamais le moindre sens critique concernant les Disney, je n'essaie même pas à vrai dire). En revanche agacée de constatée l'ajout de quelques secondes dans deux scènes dans cette version DVD, tout ça pour rajouter une brève chanson ultra-mièvre et un baiser langoureux absolument pas nécessaire ! Ravissement nostalgique si on exclut ce détail donc.
Tous les Soleils : assez mielleux mais quelques ingrédients plaisants m'ont fait passer un bon moment malgré tout : trouvé le héros très mignon, aimé entendre de l'italien (engueulades + musique), et personnage du frère "engagé" qui vit en robe de chambre sympathique.
Punk : téléfilm vu en replay sur le site d'Arte, bien aimé les scènes avec les potes punk du héros (ado lambda, proche de sa mère avec qui il est cependant en conflit, notamment parce qu'elle ne veut pas lui parler de son père qu'il ne connaît pas), mais tout me semble très cliché, structure du film assez répétitive (alternance perpétuelle entre les scènes avec les punk, les scènes avec la mère), au final assez ennuyeux et vain, surtout la dernière demie-heure qui m'a paru assez insupportable.
L'Incompris : "classique du cinéma populaire italien". Deux jeunes frères tentent de faire le deuil de leur mère et de plaire à leur père diplomate assez absent...
Delicatessen : boucher tyran fait régner le cannibalisme et la peur dans un immeuble. Complètement WTF par moments, scène "d'action" de la fin un peu trop bordelique à mon goût mais j'ai bien aimé la fantaisie de ce film, ça fourmille et ça suscite chez moi le même genre de malaise que La Cité des enfants perdus, du même réalisateur.
Raison et sentiments : regardé juste après avoir lu le livre, que j'ai bien aimé même si je lui reprocherais un schéma trop similaire à Orgueil et préjugés (seul autre livre que j'avais lu du même auteur). Ravie de voir Kate Winslet toute jeune, mais adaptation peu surprenante, et je ne suis pas vraiment convaincue par Emma Thompson (je rejoins les critiques qui la jugent trop âgée pour ce rôle).
La petite fille au bout du chemin : film "culte" dans mon esprit à cause de ma mère qui en parle sans cesse depuis des années et a enfin acheté le DVD. Intrigue policière assez banale mais qui a fonctionné sur moi (je vois tellement peu de films de ce genre que je me laisse avoir facilement), la menace du gars pédophile est parvenue à me stresser suffisamment et il y a une scène vers la fin que je trouve vraiment excellente. Donne envie de voir d'autres films avec la jeune Jodie Foster.
L'Heure Suprême : mon 3ème Borzage, après L'Isolé et L'Ange de la rue, et peut-être celui que j'aime le moins jusqu'ici : intrigue amoureuse similaire aux deux autres (avec les mêmes acteurs, ce qui n'est pas gênant vu que je les aime beaucoup), mais le personnage de Charles Farrell est encore plus tête à claques que d'habitude, et je trouve la relation de soumission de la femme envers l'homme vraiment indigeste (bien sûr faut se replacer dans le contexte de l'époque, mais même). Reste quand même de très beaux plans, et ça reste assez prenant, mais je n'ai pas vraiment été éblouie comme j'ai pu l'être devant L'Isolé, c'est peut-être trop mélo à mon goût.
Pocahontas : un des Disney préférés de mon enfance, qui me fait toujours un effet boeuf (je crois que je n'aurai jamais le moindre sens critique concernant les Disney, je n'essaie même pas à vrai dire). En revanche agacée de constatée l'ajout de quelques secondes dans deux scènes dans cette version DVD, tout ça pour rajouter une brève chanson ultra-mièvre et un baiser langoureux absolument pas nécessaire ! Ravissement nostalgique si on exclut ce détail donc.
Tous les Soleils : assez mielleux mais quelques ingrédients plaisants m'ont fait passer un bon moment malgré tout : trouvé le héros très mignon, aimé entendre de l'italien (engueulades + musique), et personnage du frère "engagé" qui vit en robe de chambre sympathique.
Punk : téléfilm vu en replay sur le site d'Arte, bien aimé les scènes avec les potes punk du héros (ado lambda, proche de sa mère avec qui il est cependant en conflit, notamment parce qu'elle ne veut pas lui parler de son père qu'il ne connaît pas), mais tout me semble très cliché, structure du film assez répétitive (alternance perpétuelle entre les scènes avec les punk, les scènes avec la mère), au final assez ennuyeux et vain, surtout la dernière demie-heure qui m'a paru assez insupportable.